OMLCC ORGANISE A NOUAKCHOTT UN ATELIER: sur L'indice de Perception de la Corruption |
الأربعاء, 22 أبريل 2015 17:03 |
Une quarantaine de participants représentants des Organisations de la Société Civile (OSC), des media, des institutions publiques, parapubliques et privées, des centres de recherche et des PTF prennent part, ce mercredi, à un Atelier de formation sur l’Indice de Perception de la Corruption (IPC). Cette session est organisée jusqu'au jeudi par l’Observatoire Mauritanien de lutte Contre la Corruption (OMLCC) , en partenariat avec le PNUD. Cet atelier permettra de familiariser les différentes acteurs et les initier aux indicateurs et indices de mesure de la corruption et de la bonne gouvernance. Il vise, également, à faire connaitre aux participants les différents outils de perception, de mesure, de notation et de plaidoyer en matière de lutte contre la corruption. Cette formation vise à initier les participants à mieux comprendre et lire les principaux indices et indicateurs qui mesurent la corruption dans le monde, en Afrique et en Mauritanie. De manière spécifique, il s’agit de faire comprendre aux participants les méthodologies d’élaboration des indices et indicateurs de perception de la corruption, notamment l’IPC ; Proposer des techniques pour une meilleure lecture et exploitation des données produites par ces indices ; Formuler un plaidoyer et proposer des actions de nature à améliorer le classement du pays ; Initier les participants à l’élaboration d’indicateurs et d’indices nationaux propres au contexte mauritanien. Les résultats attendus Les principaux indices et indicateurs sont présentés et mieux compris. La lecture des indicateurs concernant la Mauritanie est mieux expliquée et comprise. Les techniques de plaidoyer et d’action susceptibles d’améliorer le classement du pays sont définies et validées. Les indicateurs nationaux sont proposés en vue de produire une étude nationale de perception des pratiques de corruption en Mauritanie. L’Atelier sera modéré par un consultant international, le burkinabé Luc Damiba, assisté par deux experts nationaux.
|