Agence Mauritanienne Indépendante d'informations
AJIMEP et L'UNESCO RENFORCENT LES CAPACITES DE 60 JOURNALAISTES EN MATIERE DE MEDIAS ET MIGRATION

 http://filefr.ami.mr/miniatures170/15-11-2017sss05.jpg Deux ateliers de formation et de renforcement des capacités de 30 journalistes chacun, sous le thème (média et migration) ont démarré ce matin à Nouakchott.

Ces ateliers sont organisés par l’Association des Journalistes Indépendants en Mauritanie pour l’Education et le Pilotage  AJIMEP  en collaboration avec l’UNESCO à travers le PIDC (Programme International de Développement des Média).

Ouvrant les travaux de ces ateliers, le chargé de mission du ministère des Relations avec le Parlement été la Société Civile, Monsieur Mohamed Mahmoud Ould Mohamed Ahmed a d’abord remercié l’UNESCO pour cette contribution qui a permis 

 
Journée internationale de lutte contre:La corruption 2015 :Communiqué de ONUDC

Parlements en Afrique de l’Ouest et Centrale, investissez dans la lutte contre la corruption

 

Communiqué par M. Pierre Lapaque Représentant régional de l'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) pour l'Afrique de l'Ouest et centrale

9Décembre 2015

   

Chaque année, l'Afrique de l’Ouest et Centrale perd des milliards de dollars en recettes de l’Etat en raison de la corruption galopante. Au lieu de financer des écoles, des cliniques de santé, de l’infrastructure, de l'emploi pour les jeunes, les ressources naturelles sont trop souvent détournées à travers des entreprises avec des bénéficiaires non divulgués et vers des comptes bancaires dans de lointaines destinations

 

Au cours des dernières années, la plupart des pays d'Afrique de l’Ouest et Centrale ont mis en place des autorités de lutte contre la corruption pour prévenir et combattre la corruption. Malheureusement, un bon nombre de ces institutions n’ont jamais bien fonctionné. Beaucoup n’ont jamais obtenu une seule condamnation devant les tribunaux pour corruption. Par conséquent, la déception du peuple a souvent suivi les attentes élevées.

Alors que nous célébrons le 12e anniversaire de la Convention des Nations Unies contre la corruption (la Convention), ratifiée par tous les pays d’Afrique de l'Ouest et la plupart des pays d'Afrique Centrale, je voudrais inciter les parlements de la région à réinvestir pleinement dans leur infrastructure de lutte contre la corruption. Des lois fortes contre la corruption, conformément à la Convention, doivent être adoptées et les autorités de lutte contre la corruption ont besoin de plus de financement et de réels pouvoirs d'enquête.

 

Aujourd'hui, les parlements d’Afrique de l’Ouest investissent en moyenne 150 FCFA ou 25 cents d’un dollar américain par citoyen dans leurs principales autorités de lutte contre la corruption, tandis qu'ils perdent en moyenne plus de 30.000 FCFA ou 50 dollars américains par citoyen par an à cause des flux financiers illicites.

 

La tendance actuelle du manque de financement de la lutte contre la corruption et d’une fuite élevée de capitaux doit être inversée. Si les parlements de la région quadruplaient leurs investissements dans leurs autorités de lutte contre la corruption, le retour sur leur investissement serait potentiellement énorme. Au Burkina Faso, le parlement a inscrit un budget minimal pour l'autorité de lutte contre la corruption dans la loi (0,01% du budget national). D'autres pays de la région pourraient suivre cet exemple.

 

Par ailleurs, les pouvoirs d'enquête et de poursuite des autorités de lutte contre la corruption sont trop souvent absents. La plupart des autorités de lutte contre la corruption en Afrique de l'Ouest et Centrale ont un mandat d'enquêter sur la corruption, mais ils ne disposent pas des pouvoirs d'enquête pour exercer ce mandat (pouvoirs d’arrestation, de geler des comptes bancaires, de saisir des biens, de procéder à des perquisitions, etc.). Si les parlements de la région pouvaientdoter leurs autorités de lutte contre la corruption de pouvoirs de police judiciaire, alors ces autorités auraient plus de chances deréussir leurs enquêtes.

 

Le combat contre la corruption constitue souvent une épine dans le pied pour les dirigeants politiques, mais ce combat est nécessaire pour l'avenir des jeunes d’Afrique de l'Ouest et Centrale. La région souffre de la pauvreté, de l'extrémisme violent, du terrorisme, du trafic de drogue et de la criminalité organisée. Sauf si les parlements intensifient leurs efforts pour combattre la corruption, un cercle vicieux de corruption, de violence et de pauvreté continuera à se débobiner. Pour inverser cette tendance, je vous incite à conformer la législation nationale avec la Convention et à investir davantage dans votre infrastructure de lutte contre la corruption.

 

Seulement à ce moment-làun cercle vertueux et un avenir meilleur de paix, de développement et de prospérité pour tout le monde dans la région est possible.  

 
La Mauritanie participe à l'élection du DG de l'école inter-Etats des technologies et des sciences vétérinaires

 L a Mauritanie participera à Brazzaville le jeudi 10 décembre prochain à l'éléction du directeur général de l'école inter-Etats des technologies et des sciences vétérinaires, établissement commun aux Etats de l'Afrique de l'Ouest, du Centre et du Sud.

La mauritanie est représentée à cette élection par le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique qui a quitté Nouakchott dimanche pour Brazzaville

 
Le SJIM et UNESCO renforcent les capacités de 90 journalistes mauritaniens sur les techniques rédactionnelles

  Le syndicat des journalistes indépendants de Mauritanie en collaboartaion  avec Unesco et sous le parrainage du ministere des relations avec le parlement a organisé samedi  au Centre  de formation pour la promotion feminine de  Nouakchott une ceremonie d'ouverture  des travaux  d'une session de formations : de 3 ateliers  de trois jours chacun de 30 journalistes chacun  sur les techniques rédactionnelles et la déontologie de la profession

 
ONUDC :ORGANISE UN COLLOQUE UNIVERSITAIRE SUR LUTTE CONTRE LA CORRUPTION A MOSCO

l'Office des nations unies contre la drogue et le crime organisé (ONUDC) et l'Organisation régionale pour la lutte contre la corruption dans le Moyen-Orient et Afrique du Nord, en collaboration avec I’Institut d'études européennes  et le ministère russe des Affaires étrangères , organise  aujoudhui  le 30 et 31 Octobre 2015 a Moscou, Russie un colloque universitaire sur l'anti-corruption

Cet événement aura lieu dans le cadre de l'Initiative académique anti-corruption de l'ONU (AAI), à la veille de la sixième session de la Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption, qui débutera à Saint-Pétersbourg 2 Novembre 2015

AAI est un des projets académiques conjoints et fournit un tutoriel sur le programme anti-corruption. Il se compose d'un ensemble de modules de formation, des plans, des études de cas, des outils pédagogiques et des documents de référence qui peuvent être intégrés dans les universités et autres établissements d'enseignement dans leurs programmes éducatifs existants

 
Le (RINLCAO) Organise une Assemblée Générale Extraordinaire à Bamako

Le Réseau des Institutions Nationales de Lutte contre la Corruption en Afrique de l'Ouest (RINLCAO) a tenu une Assemblée Générale Extraordinaire à Bamako, au Mali le 8 et 9 juin 2015

  Pour cette occasion Le Comité exécutif du RINLCAO a publié, le 9 Juin 2015 le communiqué de  presse suivant

                                               

 

LE RESEAU DES INSTITUTIONS  NATIONALES

  DE LUTTE CONTRE LA CORRUPTION EN  AFRIQUE DE L’OUEST

   COMMUNIQUÉ DE PRESSE

 

Les 8 et 9 juin 2015, une Assemblée Générale Extraordinaire du Réseau des Institutions Nationales de Lutte contre la Corruption en Afrique de l'Ouest (RINLCAO) a eu lieu à Bamako, au Mali. Le RINLCAO est une association indépendante à but non lucratif créé à l'initiative de la Communauté économides États d'Afrique de l'Ouest  C .E.D.E.A.O

L'Assemblée Générale Extraordinaire visait à modifier les Statuts du RINLCAO et de discuter des liens entre le trafic de drogue, le crime organisé et la corruption en Afrique de l'Ouest

 
L’ONUDC Organise un atelier sur l’enseignement de la lutte contre la corruption a l’université au Qatar

L’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) a organisé en collaboration avec le  Centre d’État de Droit et Anti-corruption de Doha, au Qatar,  un atelier de trois jours du 2 au 4 juin 2015, pour des professeurs de treize pays de l’Afrique de l’Ouest et de l’Afrique Centrale sur l’enseignement de la lutte contre la corruption à l’université

A la fin  de cette importante rencontre Les participants  ont publié le Communiqué final suivant

 

 

Atelier sur L’enseignement de La Lutte Contre La Corruption A L’Université en Afrique de L’Ouest     et   de L’Arique Centrale

Doha, Qatar, 2-4 juin 2015                                                                    

                                                      

                                                                         COMMUNIQUÉ    FINAL                                                 . 

         .                                                                

 

  Du 2 au 4 juin 2015, des professeurs de treize pays de l’Afrique de l’Ouest et de l’Afrique Centralese sont réunis pour la première fois sous l’Initiative Académique Anti-Corruption (ACAD) de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) au Centre d’État de Droit et Anti-Corruption à Doha, Qatar, pour un atelier sur l’enseignement de la lutte contre la corruption à l’université.

 

: Cet atelier visait à

(i) Familiariser les participants avec la Convention des Nations Unies contre la Corruption ;

(ii) Promouvoir l’enseignement de la lutte contre la corruption dans les programmes universitaires ;

(iii) Examiner et enrichir un cours modèle multidisciplinaire développé pour l’enseignement de la lutte contre la corruption à l’université ;

(iv) Aborder la question de la corruption au sein des établissements universitaires.

 

 

Conscients des effets néfastes de la corruption sur le développement économique, social et culturel, ainsi que sur la sécurité et la paix en Afrique de l’Ouest et de l’Afrique Centrale

 

 

Conscientsdu rôle des universités dans la formation et le développement des cadres professionnels de demain

 

 

Constatant  la rareté des formations adéquates en matière de lutte contre la corruption dans les différentes institutions universitaires

 

 

Reconnaissant les défis de corruption existants au sein des établissements universitaires 

 

 

Prenant acte de l’initiative ACAD de l’ONUDC pour promouvoir l’enseignement de la lutte contre la corruption au sein des universités à travers le monde ;

 

 

Reconnaissant les efforts de l’UNESCO pour promouvoir des stratégies de lutte contre la corruption au sein des établissements universitaires

Rappelant le plan stratégique du Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur (CAMES) visant, entre autres, à promouvoir l’éthique et la déontologie

 

Rappelant également le plan stratégique du Réseau des Institutions Nationales pour la Lutte contre la Corruption en Afrique de l’Ouest (RINLCAO) prévoyant, entre autres, la collaboration de ces institutions avec les universités de la région afin d’intégrer la lutte contre la corruption dans l’enseignement supérieur.

 

:Les participants 

 

Recommandent à l’ONUDC, à l’UNESCO,au CAMES, au RINLCAO,et au Centre d’État de Droit et Anti-Corruption à Doha (Qatar) de continuer de travailler conjointement, par le biais de l’ACAD,entre autres, avec les universités de l’Afrique de l’Ouest et de l’Afrique Centrale, et les structures de recherche universitaires ou indépendantes afin d’intégrer l’enseignement de la lutte contre la corruption dans les différentes disciplines universitaires

 

2. Recommandent l’introduction d’un cours de base commun sur la corruption et la lutte y afférente(dans le tronc commun) afin de promouvoir la citoyenneté, ainsi que des modules spécialisés sur la lutte contre la corruption dans les différentes disciplines universitaires, qui pourraient être développésavec l’appui du CAMES et de l’ONUDC

 

Recommandent que le CAMES, l’ONUDC et l’UNESCO soutiennent le développement d’un programme master interdisciplinaire en matière de lutte contre la corruption au niveau sous régional en partenariat avec différentes universités et structures de recherche universitaires ou indépendantes intéressées par la question de la corruption

 

Recommandent la mise en placed’ un réseau d’universitaires de l’Afrique de l’Ouest et de l’Afrique Centrale intéressés par la question de la corruption à travers l’adhésion à l’ACAD, afin de promouvoir l’enseignement de la lutte contre la corruption, le développement de cours pilotes, l’organisation de colloques universitaires sur la lutte contre la corruption aux niveaux national et international, le développement de la recherche, la production d'études et statistiques en la matière, et des propositions de politiques universitaires visant à prévenir et combattre les manifestations de la corruption

 

Recommandent que le cours modèle développé par l’ACAD soit adapté au contexte africain et que le « menu de ressources »dudit cours soit développé davantage, dans la forme et le fond, par l’ONUDC et l’UNESCO, en particulier par l'expansion de ressources en langue française

 

. Recommandent qu’un représentant de l’ACAD soit invité à participer au prochain Comité Consultatif Général du CAMES qui se tiendra du 13 au 22 juillet 2015 à Libreville, au Gabon, afin de présenter le contenu de cette initiative

 

. Recommandent que l’ONUDC et le CAMES conviennent d’un partenariat afin de promouvoir l’enseignement de la lutte contre la corruption dans les universités en Afrique francophone et lusophone

 

 

. Recommandent que l’ONUDC continue d’encourager la recherche sur la lutte contre la corruption, y compris des travaux scientifiques à présenter lors de colloques

 

. Recommandent à l’ONUDC et l’UNESCO de renforcer leur collaboration sur lathématique de la lutte contre la corruption au sein des universités.

 

 

Félicitent et remercient  l’ONUDC et le Centre d’État de Droit et Anti-Corruption du Qatar, organisateurs de la rencontre pour cette initiative, tout en les appelant, ainsi que toutes les parties concernées, notamment, l’UNESCO, le CAMES, le RINLCAO,et les professeurs ayant participé à cet atelier, de continuer leur accompagnement des actions envisagées ci-dessus.

     

                                                                  Fait à Doha, Qatar,le 4 juin 2015                                                                     

 
JME 2015: Une ONG Nationale Organise la cérémonie officielle en Mauritanie

L’Association  LUTTE  CONTRE LA PAURVETE   ONG L.C.P  a organisé  vendredi  5 juin, la cérémonie  officielle commémorant  la journée mondiale de l'environnement 2015 en Mauritanie à la plage de Nouakchott,  Sous le parrainage du Ministère de l'environnement et du développement durable et en collaboration avec  LE PNUD  Mauritanie

 

La cérémonie s'est déroulée en présence des secrétaires généraux des ministères de l'agriculture, de l'élevage, des pêches et de l'économie maritime ainsi que des autorités administratives, locales et municipales de Nouakchott Ouest et d'un partenaire de partenaires techniques et financiers du département de l'environnement et du développement durable

M. Madi Ould Taleb secrétaire général du ministère de l'environnement et du développement durable  qui préside  la Cérémonie a souligné dans son discours d’ouverture des festivités marquants  cette JME2015 : que le ministère de l'environnement et du développement durable  veille à la limitation des impacts de l'action humaine sur les ressources naturelles et sur l'amélioration du cadre de vie au niveau de la capitale Nouakchott, précisant que ce travail de sensibilisation intervient dans un contexte particulier caractérisé par la pollution des côtes nationales par des tâches d'huile

 
<< البداية < السابق 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 التالي > النهاية >>

رتل القرآن الكريم

إعلان

إعلان

فيديو

الجريدة

إعلان